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ÉLITE FRANÇAISE

NUMÉRO 11, NOVEMBRE 2020UMÉRO 11, NOVEMBRE 2020
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et nous avons trouv é que leurs r éponse sur les effets potentiels de ce
ph énom ène sur la victime que ce soit à court terme ou à lo ng terme,
tournent tous autour de la n égativit é et ce qui peut en r ésulter de
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personnes anormales et socialement non qualifi ées pour cr éer une
famille saine dans la soci été, et cela à long terme, mais à court
terme, cela se r ésume à ce que la victime peut perdre sa confiance e n
elle-m ême et aura toujours un peur persistent de la confro ntation ou
de l'aveu d'une erreur, voire m ême de la r épétition d ’une erreur par
ent êtement et arrogance, au point de r éagir a ces actes de violences
on les r épétons à son tour avec ses parents o uses coll ègues..
Et nous avons été surpris par leurs r éponses à notre question,
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énonçant s'ils avaient entendu parler ou t émoigner du ph énom ène
dans leur environnement ou parmi leur entourage, ca r nous avons
trouv é que tout le monde parlait de nombreux exemples et cas qu'ils
avaient t émoign és et o ù la violence domestique se produisait dans
leur vie quotidienne. En fait l'une des étudiantes a mentionn é une
histoire tragique qu'elle a t émoigne durant son enfance, celle d ’un
garçon qui s'est suicid é à cause du maltrait èrent de sa m ère à son
égard et comment elle fouillait des erreurs pour le punir brutalement
ce qu ’il l ’a emmen ée à ha ïr la vie et à se prendre la vie. D'autres ont
mentionn é de nombreuses situations du m ême type, ce qui indique
l'horreur de ce ph énom ène, de sa propagation et de ses cons équences
sur la soci été, et ils ont tous vu qu'il s'agissait d'actes bruta ux et que
ceux qui les commettent devraient être punis.
Enfin, lorsqu'on leur a demand é ce qu ’ils proposent pour traiter ce
ph énom ène, certains ont évoqu é de nombreuses suggestions, telles
que la diffusion de campagnes de sensibilisation pa rmi les membres
du peuple égyptien sur la n écessit é de la planification familiale et de
limiter le ph énom ène, et ils ont soulign é l ’importance du fait que les
parents sont cens és “d’enlacer ” leurs enfants et de communiquer
avec eux en permanence et de ne pas recourir à la f orce ou à la
violence en leur éduquant ou en les puisant, et en ce qui concerne le
rôle du gouvernement dans ce domaine, certains pensen t que le
gouvernement ne pouvait pas s'immiscer dans ce ph énom ène parce
qu'il est enracin é dans notre soci été égyptienne, tandis que d'autres
affirment qu'il a un r ôle important dans la r édaction de nouvelles
lois qui r égissent la mani ère dont les parents traitent leurs enfants.
Finalement, une élev é de la facult é d ’Economie et de Sciences
Politiques à propose de ne pas promouvoir des promo tions des
facult és qui enseignent la psychologie, la sociologie et l ’éducation
sauf en faisant des projets appliques sur les membr es de la soci été
Egyptienne pratiquement dans le but de parler avec eux et leur
sensibiliser sur la bonne conduite et les m éthodes d ’élevages, et
aussi les moyens de traitement convenable et approp ries qu ’ils
doivent suivre en élèvent leur enfants.

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